PATA NEGRA

 les retrouvailles

  Adieu Oran
PATA NEGRA se     veut un rappel de l’histoire des rapatriésd’Algérie été 1962.
« Le petit, on l’appelle Antony ici, c’est mieux pour l’école, il s’est fait des amis et il travaille bien maintenant, au début sa maitresse c’était une vraie sorcière, elle disait
quelle ne comprenait pas son français, qu’il parlait trop fort »

 Mêlant l'histoire de l'immigration algérienne à celle des rapatriés d'Algérie autour des parcours de vie de deux familles que tout sépare, le regard que porte Kamel
Boudjellal sur ces deux "communautés" est tendre et émouvant. Le sentiment d'exil partagé, la « nost-algerie » d'une terre perdue est le lot commun de ces migrants qui
seront confrontés au même sentiment de rejet et d’incompréhension, de retour en métropole. Ponctuée de chants et de musiques arabo-andalouses, interprétés par les 2 guitaristes fidèles aux pièces de la Compagnie « Théâtre et sociétés », on découvre l’expérience inédite de formes de solidarité et d’entraide entre ceux que le destin de l’Algérie à divisé.
Ils croyaient quoi !... qu’on allait l’accueillir avec des dattes et du lait ceux là ?
Pauvre France, et dire qu’il y en un million comme celui là !
 
  salut final 2
 saelle                                   
 
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